Pas de risque de légionellose
Dans son édition d'aujourd'hui, le Tages-Anzeiger a fait état de manière non spécifique d'une suspicion de légionellose sur le campus du Hönggerberg. Il faut retenir que c'est le cas : Seul le bâtiment HPL était concerné. Entre-temps, l'alerte a été levée. Le problème a été traité immédiatement, de sorte que les mesures préventives immédiates ont pu être levées.
Lors d'analyses en laboratoire de l'eau chaude du bâtiment HPL sur le campus du Hönggerberg de l'ETH, des concentrations élevées de légionelles ont été mesurées le mardi 8 avril et le jeudi 10 avril. Les valeurs mesurées dépassaient la limite fixée par l'OFSP pour une contamination de haut niveau (10'000 germes par litre). Comme mesure immédiate, toutes les douches du bâtiment HPL ont été bloquées et les utilisateurs ont été rendus attentifs à ne plus utiliser d'eau chaude dans les laboratoires, les toilettes, les cuisines, etc. En outre, tous les collaborateurs travaillant dans le bâtiment ont été immédiatement informés de la suspicion par e-mail. Afin de maîtriser rapidement le problème, l'eau du robinet a été chauffée à plus de 60 degrés et les conduites ont été rincées, ce qui a permis de réduire rapidement la présence de légionelles.
De nouvelles mesures ont été effectuées le 11 avril. Lors des dernières mesures, les valeurs étaient nettement inférieures à la valeur limite, ce qui signifie qu'il n'y a plus de risque de légionellose. Toutes les mesures d'urgence ont donc été levées dans le courant de l'après-midi de lundi. L'eau chaude du bâtiment HPL peut à nouveau être utilisée sans crainte.