Actualités ETH

Grâce à des méthodes d'apprentissage automatique, des chercheurs de l'ETH Zurich ont découvert que plus de la moitié des cellules tueuses T présentent des invaginations du noyau cellulaire. Grâce à cette architecture cellulaire particulière, elles réagissent plus rapidement - et plus fortement - aux agents pathogènes.

Des chercheurs de l'ETH Zurich, de l'Université de Zurich et de l'Hôpital universitaire de Zurich ont développé une méthode innovante grâce à l'apprentissage automatique. Leur approche peut prédire comment les cellules individuelles réagissent à certains traitements. Elle permet ainsi d'établir des diagnostics et des thérapies plus précis.

Des chercheurs de l'ETH Zurich ont développé une méthode qui leur permet de modifier génétiquement chaque cellule de manière différente chez les animaux. Ils peuvent ainsi étudier en une seule expérience ce qui nécessitait auparavant de nombreuses expériences sur les animaux. Les chercheurs ont ainsi découvert des gènes pertinents pour une maladie héréditaire grave et rare.

Grâce aux ciseaux génétiques Crispr/Cas, les chercheurs peuvent étudier les causes génétiques et cellulaires de l'autisme en laboratoire - directement sur des tissus humains.

"We will rock you" : des chercheurs de l'ETH développent un interrupteur génétique qui déclenche la sécrétion d'insuline par des cellules de designer en jouant de manière ciblée certaines chansons de rock et de pop.

Les professeurs de l'ETH Mustafa Khammash et Marc Pollefeys reçoivent chacun l'un des prestigieux Advanced Grants, qui ne sont actuellement pas attribués par le Conseil européen de la recherche ERC, mais par le Fonds national suisse.

L'ETH Zurich et Roche s'associent. Sur le site de Bâle, ils développeront ensemble de nouvelles méthodes qui faciliteront la recherche de médicaments. Et ensemble, ils formeront des spécialistes pour les défis biomédicaux de notre époque.

Dans un atlas à haute résolution, des chercheurs de Bâle et de Zurich montrent comment la rétine humaine se développe. Pour ce faire, ils ont notamment utilisé une nouvelle technique qui leur permet de visualiser simultanément plus de 50 protéines.

Le myélome multiple n'est toujours pas guérissable. Des chercheurs de l'ETH Zurich et de l'Hôpital universitaire de Zurich ont maintenant testé des centaines de méthodes de traitement à l'extérieur du corps afin de prédire la meilleure option de traitement avec les agents thérapeutiques existants.

Des chercheurs de l'ETH trouvent dans le liquide céphalo-rachidien de personnes en bonne santé et de malades atteints de la maladie de Parkinson plusieurs protéines dont les formes diffèrent entre les personnes en bonne santé et les malades. Ces formes de protéines pourraient être utilisées à l'avenir comme nouvelle catégorie de biomarqueurs pour cette maladie.

Des chercheurs du Wellcome Sanger Institute (GB) et de l'ETH Zurich ont établi pour la première fois une carte complète des connexions du système immunitaire humain. Cette carte montre comment les cellules immunitaires communiquent entre elles et comment ces voies se modifient en cas de maladie.

Le Fonds national suisse a attribué des Advanced Grants pour remplacer le soutien européen qui disparaît. Les chercheurs de l'ETH Zurich se sont particulièrement bien distingués. Six des 24 subsides sont attribués à l'ETH.

Des chercheurs de l'ETH Zurich ont développé une nouvelle méthode permettant de mesurer la manière dont les protéines sont organisées à la surface des cellules. Les connaissances acquises grâce à cette technologie pourraient notamment conduire au développement de nouveaux types de médicaments contre le cancer.

Des scientifiques de l'ETH Zurich sont en train de développer des systèmes de commutation traitant des informations dans des cellules biologiques. Pour la première fois, ils ont développé un circuit "ou" dans des cellules humaines. Celui-ci réagit à différents signaux.

Les chercheurs de l'ETH ont considérablement amélioré les approches protéomiques existantes afin de pouvoir mesurer intégralement les modifications fonctionnelles des protéines. De telles signatures deviennent ainsi des outils de diagnostic à portée de main.

Des chercheurs de l'ETH menés par Karsten Weis ont mis au point une méthode qui leur permet pour la première fois d'étudier en détail le déroulement de l'assemblage de grands complexes de protéines. Les biologistes ont choisi comme étude de cas l'un des plus grands complexes cellulaires : le complexe de pores nucléaires des cellules de levure.

Ruedi Aebersold, professeur de biologie systémique moléculaire à l'ETH Zurich et à l'Université de Zurich, reçoit le prix scientifique suisse Marcel Benoist. Aebersold est honoré pour avoir contribué à la fondation et au développement de la protéomique. Cette discipline de la biologie est considérée comme la pierre angulaire de la médecine personnalisée de demain.

Les principaux chercheurs européens en IA se mettent en réseau. 30 institutions de recherche de pointe forment le réseau européen d'IA ELLIS, dont le lancement officiel a lieu aujourd'hui. L'ETH Zurich en est membre fondateur. Un objectif principal : créer les bases d'une intelligence artificielle digne de confiance.

Des chercheurs de l'ETH Zurich et de la ZHAW élaborent une méthode simple permettant de décrire avec précision l'entraînement de la force sur des appareils et de saisir les grandeurs de comparaison manquantes. Cela pourrait aider à l'avenir à développer des stratégies d'entraînement optimisées, y compris contre l'atrophie musculaire liée à l'âge.

Le Botnar Research Centre for Child Health de Bâle soutient cinq projets de recherche de l'ETH Zurich consacrés au diagnostic et au traitement de la maladie COVID-19 causée par le coronavirus.

Les bio-ingénieurs développeront bientôt des organismes artificiels qui permettront de nouvelles applications en médecine et dans l'industrie. Beat Christen discute de leurs avantages et de leurs risques.

Demain, à l'occasion de la Journée de l'ETH, le Prix Latsis de l'ETH Zurich sera décerné à Randall Platt. Ce professeur associé au Département des systèmes biologiques de l'ETH Zurich à Bâle a réalisé des performances extraordinaires dans le domaine de l'ingénierie génomique - d'autant plus impressionnantes qu'il est encore jeune.

Jusqu'à présent, on ne savait que peu de choses sur la division cellulaire, si importante pour notre santé. Aujourd'hui, un groupe de recherche de l'ETH a isolé et étudié pour la première fois toutes les protéines impliquées dans ce processus - et a ainsi fourni les bases de la recherche sur de nombreuses maladies.

Des scientifiques de l'ETH ont développé une nouvelle méthode qui simplifie énormément la production de grandes molécules d'ADN contenant plusieurs centaines de gènes. Ils ont ainsi créé le premier génome entièrement artificiel d'une bactérie. Cette méthode a le potentiel de révolutionner la biotechnologie.

Grâce à l'apprentissage automatique, des chercheurs de l'ETH ont pour la première fois examiné et catalogué de manière exhaustive des protéines à la surface des cellules. Ces découvertes permettent une nouvelle approche dans la recherche de médicaments.

Des chercheurs dirigés par Mustafa Khammash ont mis au point une nouvelle méthode pour contrôler le transfert d'ADN en ARN dans des cellules individuelles à l'aide de lumière bleue. Cette technologie pourrait éventuellement être utilisée pour l'ingénierie tissulaire et la recherche sur les cellules souches.

Les chercheurs de l'ETH développent, à l'aide du système Crispr/Cas, un nouveau mécanisme de stockage qui produit des fragments d'ADN fournissant des informations sur certains processus cellulaires. Cette mémoire cellulaire pourra peut-être même être utilisée à l'avenir pour des diagnostics.

Parfois, les virus et les bactéries se modifient génétiquement de manière à développer de nouvelles caractéristiques qui les rendent plus dangereux pour l'homme. Les modèles mathématiques de Tanja Stadler permettent de comprendre à quelle vitesse ils peuvent se modifier et se propager.

Les nouvelles connaissances sur les protéines permettent aux chercheurs de développer des techniques innovantes et utilisables en clinique, par exemple pour les patients atteints de la maladie de Parkinson.

Ce n'est pas une cause principale qui est responsable du fait que les médicaments peuvent agir différemment d'une personne à l'autre, mais de nombreux petits facteurs. C'est ce qu'ont montré des chercheurs de l'ETH sur un système modèle. Pour étudier les effets des médicaments, il faut donc, selon les scientifiques, avoir une vision globale de la biologie des systèmes.

Grâce à une nouvelle approche, des chercheurs de l'ETH découvrent dans des cellules bactériennes des interactions jusqu'ici inconnues entre des protéines et de petites molécules métaboliques. Cette technique peut également être utilisée pour tester l'effet de médicaments.

Le monde numérique dans lequel nous vivons va se connecter au monde biologique, Martin Fussenegger en est convaincu. Sa vision : dans 50 ans, des pilules électroniques nous soigneront.

A l'aide d'une analyse à grande échelle des protéines du foie, des chercheurs de l'ETH découvrent une protéine indispensable à la régénération du foie. Et ils élucident le mécanisme d'action de cette protéine.

A 29 ans, le biotechnologue Randall Platt a déjà accompli beaucoup : une méthode qu'il a développée est utilisée dans plus de 1000 laboratoires de recherche dans le monde. Et récemment, ce père de famille a obtenu une chaire à l'ETH.

Il y a dix ans, l'ETH Zurich a créé son premier et unique Département sur un autre site que Zurich : le Département des systèmes biologiques à Bâle. Bientôt, la haute école développera son avant-poste. Elle va entamer la construction d'un nouveau bâtiment départemental à proximité immédiate de l'université de Bâle, sur le site du Schällemätteli.

La professeure de l'ETH Sabine Werner et son équipe ont reçu hier le "Spark Award 2017" pour leur nouvelle approche révolutionnaire dans la lutte contre les maladies virales. Si leurs découvertes actuelles se confirment, de meilleures thérapies pourraient être développées contre différentes maladies virales, notamment contre les infections par le virus de l'herpès.

Des chercheurs de l'ETH développent un circuit de régulation intégrateur pour les cellules vivantes en utilisant une stratégie d'ingénierie éprouvée. Cela pourrait contribuer à ce que les cellules puissent fabriquer des quantités précisément régulées d'un produit.

Des biologistes de l'ETH Zurich ont développé une méthode grâce à laquelle ils peuvent mesurer pour la première fois les changements de concentration de plusieurs centaines de métabolites simultanément et presque en temps réel. Cette technique pourrait donner un coup de fouet à la recherche de nouvelles substances pharmaceutiques et à la recherche fondamentale en biologie.

Le Département des systèmes biologiques (D-BSSE) de l'ETH Zurich à Bâle et l'Université de Bâle souhaitent élargir leur coopération. Afin de renforcer la collaboration dans le domaine de la médecine personnalisée et de permettre des mesures infrastructurelles, les cantons de Bâle-Ville et de Bâle-Campagne veulent investir un total de 10 millions de francs.

Sur demande du président de l'ETH Zurich, Lino Guzzella, le Conseil des EPF a nommé six personnes au poste de professeur de l'ETH Zurich lors de sa séance des 4 et 5 mars.

Ruedi Aebersold est l'un des principaux chercheurs en protéomique au monde. Ces dernières années, il a continué à développer les méthodes protéomiques en collaboration avec une équipe de recherche internationale, de sorte que les médecins peuvent désormais utiliser cette technique comme outil. Dans un entretien avec Actualités ETH Zurich, le professeur de l'ETH Zurich et de l'Université de Zurich explique comment l'information des protéines peut faire avancer la médecine dite personnalisée.